Benabar

En fouinant dans la poubelle de Benabar, notre envoyé trés spécieux a retrouvé le brouillon de la première version de la chanson : "Le diner"

J'veux pas y'aller à cette rentrée, j'ai pas l'moral, j'suis fatigué, ils nous en voudront pas, allez on n'y va pas. En plus faut que je fasse un régime ma chemise me boudine, j'ai l'air d'une chipolata, je peux pas sortir comme ça. Ça n'a rien à voir je les aime bien les apprentis, mais je veux pas les voir parce que j'ai pas envie.

On s'en fout, on n'y va pas, on n'a qu'à se cacher loin du cfa, on commandera des pizzas, mes bd la télé et moi, on appelle, on s'excuse, on improvise, on trouve quelque chose, on n'a qu'à dire aux apprentis qu'on les aime pas et puis tant pis.

J'suis pas d'humeur tout me déprime et il se trouve que par hasard, y'a un super bon film à la télé ce soir. Un chef-d'oeuvre du 7ème art que je voudrais revoir, un drame très engagé sur la pédagogie. C'est une satire sociale dont le personnage central est joué par Tom Berenger, en plus y'a des mercenaires.

On s'en fout, on n'y va pas, on n'a qu'à se cacher loin du cfa, on commandera des pizzas, mes bd la télé et moi, on appelle, on s'excuse, on improvise, on trouve quelque chose, on n'a qu'à dire aux apprentis qu'on les aime pas et puis tant pis.

J'ai des frissons je me sens faible, je crois que je suis souffrant, ce serait pas raisonnable de sortir maintenant. Je préfère pas prendre de risque, c'est peut-être contagieux, il vaut mieux que je reste ça m'ennuie mais c'est mieux. Tu me traites d'égoïste, comment oses-tu dire ça ? Moi qui suis malheureux et triste et j'ai même pas de home-cinéma.

On s'en fout, on n'y va pas, on n'a qu'à se cacher loin du cfa, on commandera des pizzas, mes bd la télé et moi, on appelle, on s'excuse, on improvise, on trouve quelque chose, on n'a qu'à dire aux apprentis qu'on les aime pas et puis tant pis.

Philippe Ebly

Tant va la cruche à l'eau

Les petits veinards qui habitent Saint Trop ont la chance de découvrir, en avant première intergalactique, les strips narrant les mesaventures désopilantes de notre agent d'armes à nous autres du Gang
Pour les autres

il devrait y en avoir une douzaine entre maintenant et plus tard

Audrey-al

je lis "Hippie, berger de prix" parce que je le vaux bien, nous confie Audrey

Luminy 2007

Le commando du Gang a réussi à s'incruster parmi les vrais auteurs de bd. Nyark nyark

et ils ont même leur noms d'affichés
Ils sont vite rejoints par Hook, le cuisiniste spacial dont l'album devrait atterir dans les bacs aux alentouts des années 2050

Yves, lui, hante la salle consacrée aux fanzines

Devant le peu d'affluence,

on utilise les grands moyens

le célèbre Taï Chi tropézien, réalisé ici par Maître Ach Ard, Grand Initié de Kass Kou Yâge
Là, sans perturber le moins du monde Bruno Bessadi, Stan Prozak utilise l'appeau à billets de banque

Et la foule vint. Le festival pouvait commencer …dimanche après midi


ici, Stan Prozak hypnotise un client pour le transformer en lecteur des "Challengers de la dernière chance".
et, pendant ce temps là, Fournier jouait

Le gang dispensateur de bonheur

Le bonheur, c'est simple comme quelques pages de bd


"Hippie, berger de prix", en vente dans toutes les bonnes pharmacies. Le remboursement est à l'étude par la Sécurité Sociale

le spirit - born again

Après "Sin City" et "300" qui a fait circuler pas mal d'électrons sur BDP entre autres, Miller s'attaque à une des plus grandes bds du monde anglo-saxon, "The spirit" du génial Will Eisner

Coincidence : le spirit hante de nouveau les comics shops sous la plume et le pinceau de Darwyn Cooke, encré par J. Bone. Et, c'est vraiment pas mal. Peut être moins inventif que Eisner qui révolutionna les cadres du comics, Cooke livre un travail d'honnête facture qui ne demande qu'à se bonifier

couverture du #4 où notre héros masqué passe une bonne partie de l'aventure dans les bras de Silk Satin. La fifille Dolan va surement apprécier

Aix 2007

Ben, on a pas vraiment été présent au festival d'Aix. On devait partager un stand avec notre ami de QGDF aussi connu sous le nom de l"Aigle de la route". Hélas, il s'avéra que ce n'était qu'un fantôme de stand. Aussi trouvâmes nous festiavl clos et devant l'enthousisame des organisateurs, nous décidâmes de nous rappatrier vers nos bases arrières.
On a quand même eu le temps de prendre quelques images dont une qui n'est pas piquée des acariens